Bamako, Diabaly, Sevare, Gao, Tombouctou, Kidal, Tessalit, il a fallu deux mois, une semaine et plusieurs milliers de kilomètres pour pouvoir se faire une petite idée de la situation au Mali. Ici les images.
Un conflit complexe, dans un pays coupé en deux, division qui a profité aux islamistes pour occuper toute la moitié nord du pays.
L'armée française appuyée par l'armée malienne les a chassé vers le nord mais la menace demeure, les attaques surprises et attentats suicides sont leurs armes, créant la terreur dans les populations. Ils veulent faire du Mali un nouvel Afghanistan.
Cependant il y a un problème plus profond, la division du pays, il suffit de faire un tour à Kidal pour s'apercevoir que le Mali est loin de retrouver son intégrité territoriale. Les Touaregs ne se sentent pas maliens, trop de différences les séparent, Kidal ce n'est pas le Mali, on n'est plus en Afrique noire.
La culture, les moeurs, la langue, la couleur de peau trop de choses diffèrent. On écoute des témoignages sur les exactions de l'armée malienne, des corps à peine recouverts de sable dans des terrains vagues ou entassés dans des puits. En face, les maliens reproches aux touaregs leurs liens avec les djihadistes, le MNLA est entré dans Gao avec leur appui avant d'être chassés.
Rancoeur des deux côtés justifiée, une culture très différente, ce sont de réels obstacles au retour à l'intégrité de ce beau pays, en tout cas cette histoire n'est pas terminée...
L'armée française appuyée par l'armée malienne les a chassé vers le nord mais la menace demeure, les attaques surprises et attentats suicides sont leurs armes, créant la terreur dans les populations. Ils veulent faire du Mali un nouvel Afghanistan.
Cependant il y a un problème plus profond, la division du pays, il suffit de faire un tour à Kidal pour s'apercevoir que le Mali est loin de retrouver son intégrité territoriale. Les Touaregs ne se sentent pas maliens, trop de différences les séparent, Kidal ce n'est pas le Mali, on n'est plus en Afrique noire.
La culture, les moeurs, la langue, la couleur de peau trop de choses diffèrent. On écoute des témoignages sur les exactions de l'armée malienne, des corps à peine recouverts de sable dans des terrains vagues ou entassés dans des puits. En face, les maliens reproches aux touaregs leurs liens avec les djihadistes, le MNLA est entré dans Gao avec leur appui avant d'être chassés.
Rancoeur des deux côtés justifiée, une culture très différente, ce sont de réels obstacles au retour à l'intégrité de ce beau pays, en tout cas cette histoire n'est pas terminée...